La Cabane De Tonton Damien Ep. 01 Henry
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je vais vous présenter Lorraine, Lorry pour la plupart, Loulou pour quelques élus. Je lai connue sur une plage nudiste, durant les vacances. Nous avons rapidement liées et rapidement nous sommes devenues amies, car on habitait toutes les deux la même ville et on avait le même âge exacte : vingt ans. Lorry était une jolie petite brune, et quand je lai connue, on aurait dit une maghrébine tellement elle était bronzée. En hiver, par contre, elle avait plutôt la peau blanche, et je lenviais pour la façon dont elle bronzait si facilement dès quelle se mettait sous le soleil. Elle avait de longs cheveux noirs mais teints de blond et de grands yeux ronds et noirs. Elle était bien voluptueuse, maigre de seins mais pour la partie inferieure de son corps
waouh ! Elle avait de grosses fesses toutes rondes, un jolie abricot grassouillets et de belle cuisses. Cest un peu pour ca que je me suis approchée delle. Et daprès ce quelle disait, elle avait toujours eu ces fesses et ces cuisses, dès son plus jeune âge.
De retour des vacances, en une soirée entre nous, nous qui étions devenue de vraies copines, on a comprit lune de lautre quon naimait pas que la compagnie intime des hommes, mais aussi celles des femmes. On avait toutes les deux des petits copains qui étudiaient loin pour le moins, cest ce que je croyais pour son compte. Et alors nous avons commencé à nous voir un peu plus intimement, pour nous donner du plaisir lune a lautre. Nous avons commencé par nous toucher, puis nous sommes passées a plus, et sans honte. Et on a débuté, ainsi, une sorte de relation damusement, libre et sans contraintes, car on se trouvait super bien ensemble, surtout sur le plan sexuel !
Rapidement, cependant, je me suis rendue compte quelle avait le sexe dans le sang. Une vraie nymphomane, sans rétention, une passionnée du sexe que ce soit avec les filles ou les garçons.
Mais puis un jour, je lai vue sans quelle me voie, au centre commercial, accrochée en riant à un vieillard sur la soixantaine qui ne se retenait pas de lui mettre la main au cul, et bien le lui toucher ; glissant la main même sous ses jupes, pour aller chatouiller ses parties plus intimes. Le soir même, quand elle débarqua chez moi pour diner et une séance de fol amusement aves ses sex-toys, curieuse de sa perversion dans le lit et de ce type avec qui je lavais vue, je lui ai demandé qui était-il. A poils sur mon lit, elle me répondit, en souriant, que cétait Antoine, son petit copain. Surprise, je lui fis part de leur différence dâge et elle, simplement, elle me répondit que les vieux savaient mieux baiser que les jeunes quand ils réussissaient à bander. Encore plus surprise, je le lui ai demandée le pourquoi. Elle me surprenait, elle qui était assez timide et réservée dans la vie de tous les jours, malgré je leu connue sur une plage de nudiste et elle eu un copain de soixante-deux ans qui la branlait carrément en publique.
Sans trop de problèmes, elle me raconta son histoire, en souriant et me touchant de temps à autre, en réclamant autant de ma part.
Cependant, elle ma surpris en me disant que lannée précédente, elle ne recevait ni un seul de ces compliments. Daprès ce quelle me dit, elle partit lété ou elle avait seize ans un vilain petit canard tout moche et pudique, pour revenir lan daprès une belle minette sexy et chaude, qui osait les bikinis riquiqui, le piercing au nombril et les mini-jupes aux bords des slips avec des talons hauts. Une vraie bombe sexuelle, quoi ! Et jen savais quelques choses, car jadorais ses habits tout moulant et sa lingerie sexy en dentelles. En riant, elle ajouta que cette été la, la nouveauté nétaient pas que les compliments mais aussi les mains au cul, discrètement, sur le bus, a la plage ou a la superette. Tout le monde voulait savoir si ce cul était vraiment si ferme comme il paraissait ! Toutefois, elle me dit que, si au début ceci la mettait mal a laise, après elle laissait ces vieillards la toucher car elle aimait. Et bientôt, ne la voyant pas se vexer sous ces attouchements, on commença a se frottait dès quils pouvaient à son cul, et elle aimait ca encore plus que les mains ! Lentement on sélargissait, jusqu'à relever ses jupes, et elle ne disait toujours rien, ni même quand une fois on lui écarta les culottes et on lui frôla sa partie plus intime.
Cette année il y avait trois jeunes garçons de pas plus de vingt ans, qui étaient venus en camping pour fêter le bac. Et après les mains au cul des vieillards, ces types, a tours de rôle, vinrent lui faires des propositions piquantes. Ils lui demandèrent ce quils voulaient delle, allant droit au but et sans honte: montre-moi ta chatte, je te montre mon loup ; branle-moi et je te touche ; suce moi la bite et je te lèche la fente. Je mémerveillais, cependant, du fait quaucun de ces types ne lui demanda plus ; mais je me tus pour écouter, sachant quelle y serait arrivée. Elle me dit que les pactes saccomplissaient derrière les rochers de cette petite plage, ou alors dans les toilettes, des fois même au large dans ma mer quand ce nétait questions que de branlette ou de frotteurisme. Et cest la que les bites sortaient des shorts et son con grassouillet sortait du slip du bikini. Voyant probablement mon doute ou peut-être car elle devait y arriver car attenant a son histoire, elle ajouta que cétait car on la croyait encore vierge, quon ne lui demandait pas de la lui mettre. En un sourire elle ajouta que, cependant, elle ne létait pas. Elle avait donnée son pucelage, comme disait les vieux, lan avant à un vieillard de soixante ans tout rond, sur un pick-up, dans les bois qui entouraient le village.
Pourquoi, lui ais-je demander incrédule, fallait-il vraiment se faire dépuceler par une vieux et non pas par un jeune ? Elle ria, descendit du lit, et sy rejeta peu après me donnant une photo quelle tenait dans le sac, et dont elle ne se séparer jamais en guise de memo. Elle mexhorta à la regarder, et jai vite compris... Le vieux qui sappelait Henry, et daprès ce quelle me dit, était bas, avait des lunettes, des cheveux blancs et un énorme ventre tout rond, lui avait gentiment fait part que personne ne laurait jamais dépuceler en son état.
Et tu le lui as donné ? Jai demandée, ahurie. Elle, surprise de ma réaction, me regarda presque vexée et me répondit quil avait était vraiment gentil de soffrir pour une tache si hardie. Toute tranquille, vautrée sur mon lit, les yeux songeurs et mouillant au souvenir, elle me raconta sa première fois. Le vieillard en vacance dans ce petit coin, et qui ne se fit plus revoir après cette chaude été du 2011 la ramena avec son pick-up dans les bois vers le coucher de soleil. Cétait une forêt épaisse darbres, hauts et serrés entre eux. Personne ny mettait le pied, saufs quelque putains qui se tenaient souvent près de la route, ou alors quelque gay qui sy retrouvait pour senculer. Mais ce jour la, comme il paraissait quils étaient bien seuls, il ne trouva pas besoin de partir a pied pour se chercher un coin cacher. Elle me dit que, évidement, il savait que ce devait être quelque chose de vite fait. Ce nétait pas un grand amant, elle me dit, il ne tenait pas longtemps et il navait de munitions que pour une seule fois. Ils sallongèrent sur larrière du pick-up, qui était bien peu confortable et quand elle lui en fit part, il sen ressentit.
On fout on lon peut ma Loulou ! Il lui répondit, examinant son corps avec minutie. Cest un plaisir que je te fais, si tu ne veux pas, nous pouvons partir.
Lorry me dit quelle demanda aussitôt pardon, car elle ne pouvait en aucun cas perdre cette occasion. Cest grâce a lui, elle ajouta, que jai put changer ! Daprès ce quelle me dit, elle ferma les yeux et se laissa aller, laissant le vieux lui fouiller le corps comme bon lui semblait. Elle se rappelait bien quil haletait en effleurant ses cuisses, en lui léchant le cou, ses mains qui lui touchaient ses parties plus intimes par-dessus ses habits. Et elle me dit que, ces chatouilles, commencèrent à lui plaire et quelle prit a gémir presque a linstant. Elle navait jamais eu damant, et elle ne se touchait que des rares fois. Il remonta ses jupes et aussi son top, en dénudant sa poitrine inexistante. Sa main se colla a la chatte de Lorry quil trouva humide, et elle lui ouvrit les cuisses pour lui faciliter la tache et lui donner un vue imprenable sur le fond bomber de ses slips. Puis elle sentit la bouche dHenry se collait a ses nichons, rien dautre que des mamelons raides qui se durcissait dans sa bouche.
Presque nostalgique, elle commença à se branler lentement e clitoris de lindexe, en me disant que pendant quil lui touchait le bouton, il lui suçait et lui mordait les mamelons. Il lui retira aussitôt les slips, et en riant elle me dit quil « regarda ce qui se présenta a lui, tout surpris ! ». Elle avoua davoir une énorme forêt de poils frisés et noirs à couvrir sa moule. Pour un instant, il se bloqua mais puis sen foutant, il écarta les lèvres de son vagin des doigts. Elle sen rappelait bien, et encore plus de ses doigts qui lui fouillaient cette partie quaucun homme avant lui navait vu. Jimaginais la belle fente toute rose et dégoulinante de mouille quil regardait. Elle me dit quil jeta sa figure dessus et il lécha sa fente. Cétait la première fois quelle sentait la langue dun homme sur sa chatte et elle adorait ca. Il la lécha un peu, mais puis il se retira. Il naimait pas tous ces poils, me dit-elle.
Fallait que tu te rase, ptite conne ! Il lui dit. Ca va prendre plus de temps, maintenant. Et je nai pas de temps à perdre.
Cependant il avait, heureusement, tout son matériel avec lui ! Prevoyant que sa ptite Loulou au un buisson épais. Il fit sortir dun sac de la mousse a raser et un rasoir. Elle me dit que cétait, peut-être, une des meilleurs sensations quelle eu sentie en sa vie. Ses doigts qui éparpillèrent la mousse sur toute sa chatte, bien couvrant chaque repli de peau, la faisait frissonner de plaisir. Et puis, elle frémissait encore plus sous les coups de rasoir qui libérait son con de son épais duvet, parce quil la fouillait des doigts, etirer ses chairs pour puis lisser sa peau. Quand il termina de lessuyer de la mousse elle vu s « ses yeux brillés, et rien qua regarder mon con, il banda ! ». Et cest vrais, elle avait un joli con tout gras. Ce nétait rien dautre quune ligne qui semblait tracée au crayon, de la quelle rien ne paraissait si ce nétait un peu de ses lèvres roses. Et jimaginais que quand cet abricot était encore inviolé, cette ligne ne devait absolument rien laisser voir.
Rapidement la main de ce vieux fouilla la chatte de Lorry, la caressant, et elle sursauta de plaisir quand il décolla ses lèvres à laide dun doigt qui alla se plaquer contre son clitoris. Elle grand ouvrit les yeux en me regardant et en me disant qua limprévu « il colla sa bouche à mon con ! ». Elle mexpliqua bien quil office de ventouse de sa bouche sur son con, le prenant entièrement dans la bouche, et suçant tout ce quil y avait à sucer dun seul coup, avalant ses chairs inviolées. Puis sa langue fouilla rapidement ses replis, avant quil ne déchire une capote quil fit aussitôt a mettre a sa bite. Et cest la quelle mavoua quelle fut un quelque peu déçue des grandeurs de la bite de ce vieux. Même si, elle ajouta, elle en resta émerveillée car cétait la première bite quelle voyait et elle lui paraissait bien grande. Mais à présent, me dit-elle, je me rends compte que ce nétait quune petite merguez pas plus grande quune carotte, assez petite, et elle disparaissait sous son ventre qui était si gros quil « ne put même pas sallonger sur moi et il me dévirginisa a genoux ».
Il pointa, a ce qui parait, le gland de son micro sexe qui nager dans le préservatif, à lentrer du vagin de Lorry dont il tenait les jambes sur les bras. Elle me dit quelle ferma les yeux et elle cria quand, sans trop de poésie, il força la bite dans son con en la défroissant. Mais, même en la mettant dans un con tout jeune comme celui de Lorry, elle me dit que « je sentais son vit déjà tout mou gisait dans mon ventre». Elle allongea une main vers moi, se faufilant vers mon entrejambes, pour commencer doucement à me masturber, tout en continuant son histoire. Il ne devait pas avoir une grande érection, daprès ce quelle mavait raconté, moi qui aller déjà dans les pommes sous ses caresses. Elle chuchota quelle ne perdit pas de sang et quau fond elle fit plus de scène de ce que cétait réellement, car après deux ou trois coups de sa part elle avait déjà commencée à gémir et ressentir du plaisir. Mais le problème, daprès ce quelle disait, cétait que quand elle commença à ressentir du vrai plaisir il beugla comme une bête et il déchargea en lenfilant bien au fond.
Elle termina assez rapidement son histoire, tout en mécartant les jambes pour coller sa figure sur ma chatte qui avait bien mouillée. Il noua le préservatif quil jeta par-dessus le pick-up, il se rhabilla, elle remit ses culottes et ils retournèrent vers la plage. Elle me dit, en relevant la tête de ma chatte frémissante sous les coups savants de sa langue, que ce ne fut pas « si terrible, mais même pas si merveilleux comme il mavait promis ; pour le moins je nétais plus pucelle ». Ou pour le moins, elle me dit que « cest ce que je croyais ! ».
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