La Cabane De Tonton Damien – Ep. 01 – Henry

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --


Je vais vous présenter Lorraine, Lorry pour la plupart, Loulou pour quelques élus. Je l’ai connue sur une plage nudiste, durant les vacances. Nous avons rapidement liées et rapidement nous sommes devenues amies, car on habitait toutes les deux la même ville et on avait le même âge exacte : vingt ans. Lorry était une jolie petite brune, et quand je l’ai connue, on aurait dit une maghrébine tellement elle était bronzée. En hiver, par contre, elle avait plutôt la peau blanche, et je l’enviais pour la façon dont elle bronzait si facilement dès qu’elle se mettait sous le soleil. Elle avait de longs cheveux noirs mais teints de blond et de grands yeux ronds et noirs. Elle était bien voluptueuse, maigre de seins mais pour la partie inferieure de son corps… waouh ! Elle avait de grosses fesses toutes rondes, un jolie abricot grassouillets et de belle cuisses. C’est un peu pour ca que je me suis approchée d’elle. Et d’après ce qu’elle disait, elle avait toujours eu ces fesses et ces cuisses, dès son plus jeune âge.
De retour des vacances, en une soirée entre nous, nous qui étions devenue de vraies copines, on a comprit l’une de l’autre qu’on n’aimait pas que la compagnie intime des hommes, mais aussi celles des femmes. On avait toutes les deux des petits copains qui étudiaient loin – pour le moins, c’est ce que je croyais pour son compte. Et alors nous avons commencé à nous voir un peu plus intimement, pour nous donner du plaisir l’une a l’autre. Nous avons commencé par nous toucher, puis nous sommes passées a plus, et sans honte. Et on a débuté, ainsi, une sorte de relation d’amusement, libre et sans contraintes, car on se trouvait super bien ensemble, surtout sur le plan sexuel !
Rapidement, cependant, je me suis rendue compte qu’elle avait le sexe dans le sang. Une vraie nymphomane, sans rétention, une passionnée du sexe que ce soit avec les filles ou les garçons.

Elle pouvait jouir des dizaines de fois de suites, et sans se fatiguer, prête pour une autre partie. Elle était hyper habile avec la langue et aussi avec les doigts, me faisant jouir comme personne n’y était parvenu avant. Chez elle, elle avait un large assortiment de jouets : des œufs vibrants ; des boules de geishas ; des godemichets de toutes grandeurs et toutes sortes, qui éjaculaient du sperme artificiel, et surtout un gode a deux têtes qu’on pouvait user a deux ; des vibromasseurs qui stimulaient le clitoris, le point G ou l’anus durant la pénétration, quelques uns même a la tête tournante ; et aussi une machine a sexe ! Sans parler d’un tas de sortes de gode ceintures, même avec deux godes pour une double pénétration. Et tout ceci, mais surtout les godes-ceintures, elle les essaya sur moi et je les ai essayé sur elle. Nous nous amusions bien, et on se voyait toujours plus fréquemment !
Mais puis un jour, je l’ai vue sans qu’elle me voie, au centre commercial, accrochée en riant à un vieillard sur la soixantaine qui ne se retenait pas de lui mettre la main au cul, et bien le lui toucher ; glissant la main même sous ses jupes, pour aller chatouiller ses parties plus intimes. Le soir même, quand elle débarqua chez moi pour diner et une séance de fol amusement aves ses sex-toys, curieuse de sa perversion dans le lit et de ce type avec qui je l’avais vue, je lui ai demandé qui était-il. A poils sur mon lit, elle me répondit, en souriant, que c’était Antoine, son petit copain. Surprise, je lui fis part de leur différence d’âge et elle, simplement, elle me répondit que les vieux savaient mieux baiser que les jeunes quand ils réussissaient à bander. Encore plus surprise, je le lui ai demandée le pourquoi. Elle me surprenait, elle qui était assez timide et réservée dans la vie de tous les jours, malgré je l’eu connue sur une plage de nudiste et elle eu un copain de soixante-deux ans qui la branlait carrément en publique.
Sans trop de problèmes, elle me raconta son histoire, en souriant et me touchant de temps à autre, en réclamant autant de ma part.
Depuis qu’elle avait quatorze ans, me dit-elle, elle allait chaque été en vacances a la plage chez la sœur de sa mère, tante Lucie, qui avait une petite villa avec jardin, sur la mer je ne sais plus trop ou’ – mais elle força sur le fait que c’était un tout petit village, ou’ tout le monde se connaissait et ou’ il y avait bien peu de jeunes garçon et jeunes filles avec qui s’amusait. Tout en riant, elle me dit que son cul tout rond faisaient bavait tout les vieillards du village a son passage, mais que personne n’osaient la toucher par respect de Tati Lucie. Même si, quand elle eu ses dix-sept ans, les compliments tombaient de tout côté. En riant elle me les raconta, et je n’en doutais guère : comme on est belle, quelle jolie robe que tu porte, comme tu as grandi… C’étaient des compliments pas méchants, par rapport a ceux qu’on lui disait a présent dans la rue, mais j’imaginais que c’était dit avec malice, un petit effleurement de bite en clignant des yeux entre vieux potes.
Cependant, elle m’a surpris en me disant que l’année précédente, elle ne recevait ni un seul de ces compliments. D’après ce qu’elle me dit, elle partit l’été ou elle avait seize ans un vilain petit canard tout moche et pudique, pour revenir l’an d’après une belle minette sexy et chaude, qui osait les bikinis riquiqui, le piercing au nombril et les mini-jupes aux bords des slips avec des talons hauts. Une vraie bombe sexuelle, quoi ! Et j’en savais quelques choses, car j’adorais ses habits tout moulant et sa lingerie sexy en dentelles. En riant, elle ajouta que cette été la’, la nouveauté n’étaient pas que les compliments mais aussi les mains au cul, discrètement, sur le bus, a la plage ou a la superette. Tout le monde voulait savoir si ce cul était vraiment si ferme comme il paraissait ! Toutefois, elle me dit que, si au début ceci la mettait mal a l’aise, après elle laissait ces vieillards la toucher car elle aimait. Et bientôt, ne la voyant pas se vexer sous ces attouchements, on commença a se frottait dès qu’ils pouvaient à son cul, et elle aimait ca encore plus que les mains ! Lentement on s’élargissait, jusqu'à relever ses jupes, et elle ne disait toujours rien, ni même quand une fois on lui écarta les culottes et on lui frôla sa partie plus intime.
Surprise, je lui ai demandé pourquoi elle se laissa faire ainsi et elle aimait ceci. Elle me gronda, tout en riant, me disant de patienter.
Cette année il y avait trois jeunes garçons de pas plus de vingt ans, qui étaient venus en camping pour fêter le bac. Et après les mains au cul des vieillards, ces types, a tours de rôle, vinrent lui faires des propositions piquantes. Ils lui demandèrent ce qu’ils voulaient d’elle, allant droit au but et sans honte: montre-moi ta chatte, je te montre mon loup ; branle-moi et je te touche ; suce moi la bite et je te lèche la fente. Je m’émerveillais, cependant, du fait qu’aucun de ces types ne lui demanda plus ; mais je me tus pour écouter, sachant qu’elle y serait arrivée. Elle me dit que les pactes s’accomplissaient derrière les rochers de cette petite plage, ou alors dans les toilettes, des fois même au large dans ma mer quand ce n’était questions que de branlette ou de frotteurisme. Et c’est la’ que les bites sortaient des shorts et son con grassouillet sortait du slip du bikini. Voyant probablement mon doute ou peut-être car elle devait y arriver car attenant a son histoire, elle ajouta que c’était car on la croyait encore vierge, qu’on ne lui demandait pas de la lui mettre. En un sourire elle ajouta que, cependant, elle ne l’était pas. Elle avait donnée son pucelage, comme disait les vieux, l’an avant à un vieillard de soixante ans tout rond, sur un pick-up, dans les bois qui entouraient le village.
Pourquoi, lui ais-je demander incrédule, fallait-il vraiment se faire dépuceler par une vieux et non pas par un jeune ? Elle ria, descendit du lit, et s’y rejeta peu après me donnant une photo qu’elle tenait dans le sac, et dont elle ne se séparer jamais en guise de memo. Elle m’exhorta à la regarder, et j’ai vite compris... Le vieux qui s’appelait Henry, et d’après ce qu’elle me dit, était bas, avait des lunettes, des cheveux blancs et un énorme ventre tout rond, lui avait gentiment fait part que personne ne l’aurait jamais dépuceler en son état.
Et probablement, a cette époque la’, il n’avait pas tous les tords. Ma sexy Lorry, qui se tenait a poils sur mon lit en se touchant, était vraiment moche qu’on n’aurait même pas dit la même fille. Elle avait les cheveux rêches et frisés, des éruptions acnéiques, l’appareil dentaire, pas de tout de seins, et elle ne se dépiler ni aisselles, ni le maillot et tant moins les jambes. Personne ne l’aurait enconné tellement elle était moche, c’est ce que ce vieux lui fit part un jour qu’il la suivit dans les toilettes de la plage. Elle me dit qu’il était gentil et cordial, et qu’il s’était offert de l’aider. Il l’aurait dépuceler, si elle le voulait, autrement elle pouvait se tenir son pucelage, même si ce n’était pas convenable qu’une fille a seize soit encore vierge. Elle m’avoua en toute sincérité que, par peur de ne jamais voir de loup dans sa vie, elle accepta la gentille offre de ce bon samaritain.
Et tu le lui as donné ? J’ai demandée, ahurie. Elle, surprise de ma réaction, me regarda presque vexée et me répondit qu’il avait était vraiment gentil de s’offrir pour une tache si hardie. Toute tranquille, vautrée sur mon lit, les yeux songeurs et mouillant au souvenir, elle me raconta sa première fois. Le vieillard – en vacance dans ce petit coin, et qui ne se fit plus revoir après cette chaude été du 2011 – la ramena avec son pick-up dans les bois vers le coucher de soleil. C’était une forêt épaisse d’arbres, hauts et serrés entre eux. Personne n’y mettait le pied, saufs quelque putains qui se tenaient souvent près de la route, ou alors quelque gay qui s’y retrouvait pour s’enculer. Mais ce jour la’, comme il paraissait qu’ils étaient bien seuls, il ne trouva pas besoin de partir a pied pour se chercher un coin cacher. Elle me dit que, évidement, il savait que ce devait être quelque chose de vite fait. Ce n’était pas un grand amant, elle me dit, il ne tenait pas longtemps et il n’avait de munitions que pour une seule fois. Ils s’allongèrent sur l’arrière du pick-up, qui était bien peu confortable et quand elle lui en fit part, il s’en ressentit.
— On fout on l’on peut ma Loulou ! Il lui répondit, examinant son corps avec minutie. C’est un plaisir que je te fais, si tu ne veux pas, nous pouvons partir.
Lorry me dit qu’elle demanda aussitôt pardon, car elle ne pouvait en aucun cas perdre cette occasion. C’est grâce a lui, elle ajouta, que j’ai put changer ! D’après ce qu’elle me dit, elle ferma les yeux et se laissa aller, laissant le vieux lui fouiller le corps comme bon lui semblait. Elle se rappelait bien qu’il haletait en effleurant ses cuisses, en lui léchant le cou, ses mains qui lui touchaient ses parties plus intimes par-dessus ses habits. Et elle me dit que, ces chatouilles, commencèrent à lui plaire et qu’elle prit a gémir presque a l’instant. Elle n’avait jamais eu d’amant, et elle ne se touchait que des rares fois. Il remonta ses jupes et aussi son top, en dénudant sa poitrine inexistante. Sa main se colla a la chatte de Lorry qu’il trouva humide, et elle lui ouvrit les cuisses pour lui faciliter la tache et lui donner un vue imprenable sur le fond bomber de ses slips. Puis elle sentit la bouche d’Henry se collait a ses nichons, rien d’autre que des mamelons raides qui se durcissait dans sa bouche.
Presque nostalgique, elle commença à se branler lentement e clitoris de l’indexe, en me disant que pendant qu’il lui touchait le bouton, il lui suçait et lui mordait les mamelons. Il lui retira aussitôt les slips, et en riant elle me dit qu’il « regarda ce qui se présenta a lui, tout surpris ! ». Elle avoua d’avoir une énorme forêt de poils frisés et noirs à couvrir sa moule. Pour un instant, il se bloqua mais puis s’en foutant, il écarta les lèvres de son vagin des doigts. Elle s’en rappelait bien, et encore plus de ses doigts qui lui fouillaient cette partie qu’aucun homme avant lui n’avait vu. J’imaginais la belle fente toute rose et dégoulinante de mouille qu’il regardait. Elle me dit qu’il jeta sa figure dessus et il lécha sa fente. C’était la première fois qu’elle sentait la langue d’un homme sur sa chatte et elle adorait ca. Il la lécha un peu, mais puis il se retira. Il n’aimait pas tous ces poils, me dit-elle.
– Fallait que tu te rase, p’tite conne ! Il lui dit. Ca va prendre plus de temps, maintenant. Et je n’ai pas de temps à perdre.
Cependant il avait, heureusement, tout son matériel avec lui ! Prevoyant que sa p’tite Loulou au un buisson épais. Il fit sortir d’un sac de la mousse a raser et un rasoir. Elle me dit que c’était, peut-être, une des meilleurs sensations qu’elle eu sentie en sa vie. Ses doigts qui éparpillèrent la mousse sur toute sa chatte, bien couvrant chaque repli de peau, la faisait frissonner de plaisir. Et puis, elle frémissait encore plus sous les coups de rasoir qui libérait son con de son épais duvet, parce qu’il la fouillait des doigts, etirer ses chairs pour puis lisser sa peau. Quand il termina de l’essuyer de la mousse elle vu s « ses yeux brillés, et rien qu’a regarder mon con, il banda ! ». Et c’est vrais, elle avait un joli con tout gras. Ce n’était rien d’autre qu’une ligne qui semblait tracée au crayon, de la quelle rien ne paraissait si ce n’était un peu de ses lèvres roses. Et j’imaginais que quand cet abricot était encore inviolé, cette ligne ne devait absolument rien laisser voir.
Rapidement la main de ce vieux fouilla la chatte de Lorry, la caressant, et elle sursauta de plaisir quand il décolla ses lèvres à l’aide d’un doigt qui alla se plaquer contre son clitoris. Elle grand ouvrit les yeux en me regardant et en me disant qu’a l’imprévu « il colla sa bouche à mon con ! ». Elle m’expliqua bien qu’il office de ventouse de sa bouche sur son con, le prenant entièrement dans la bouche, et suçant tout ce qu’il y avait à sucer d’un seul coup, avalant ses chairs inviolées. Puis sa langue fouilla rapidement ses replis, avant qu’il ne déchire une capote qu’il fit aussitôt a mettre a sa bite. Et c’est la’ qu’elle m’avoua qu’elle fut un quelque peu déçue des grandeurs de la bite de ce vieux. Même si, elle ajouta, elle en resta émerveillée car c’était la première bite qu’elle voyait et elle lui paraissait bien grande. Mais à présent, me dit-elle, je me rends compte que ce n’était qu’une petite merguez pas plus grande qu’une carotte, assez petite, et elle disparaissait sous son ventre qui était si gros qu’il « ne put même pas s’allonger sur moi et il me dévirginisa a genoux ».
Il pointa, a ce qui parait, le gland de son micro sexe qui nager dans le préservatif, à l’entrer du vagin de Lorry dont il tenait les jambes sur les bras. Elle me dit qu’elle ferma les yeux et elle cria quand, sans trop de poésie, il força la bite dans son con en la défroissant. Mais, même en la mettant dans un con tout jeune comme celui de Lorry, elle me dit que « je sentais son vit déjà tout mou gisait dans mon ventre». Elle allongea une main vers moi, se faufilant vers mon entrejambes, pour commencer doucement à me masturber, tout en continuant son histoire. Il ne devait pas avoir une grande érection, d’après ce qu’elle m’avait raconté, moi qui aller déjà dans les pommes sous ses caresses. Elle chuchota qu’elle ne perdit pas de sang et qu’au fond elle fit plus de scène de ce que c’était réellement, car après deux ou trois coups de sa part elle avait déjà commencée à gémir et ressentir du plaisir. Mais le problème, d’après ce qu’elle disait, c’était que quand elle commença à ressentir du vrai plaisir il beugla comme une bête et il déchargea en l’enfilant bien au fond.
Elle termina assez rapidement son histoire, tout en m’écartant les jambes pour coller sa figure sur ma chatte qui avait bien mouillée. Il noua le préservatif qu’il jeta par-dessus le pick-up, il se rhabilla, elle remit ses culottes et ils retournèrent vers la plage. Elle me dit, en relevant la tête de ma chatte frémissante sous les coups savants de sa langue, que ce ne fut pas « si terrible, mais même pas si merveilleux comme il m’avait promis ; pour le moins je n’étais plus pucelle ». Ou pour le moins, elle me dit que « c’est ce que je croyais ! ».

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